Les trois premières syllabes du texte (Ho, ho, ho !) sont une simple exclamation qui n'appartient pas proprement à la strophe poétique. Cette ballade compte exceptionnellement 4 strophes. Les strophes 2 et 3 remplacent la rime b respectivement par les rimes c et d. La 4e strophe garde la métrique mais change les rimes. Refrain de 4 vers. L'esprit de ce texte rappelle la ballade "Cheulz qui volent retourner" qui la suit immédiatement dans le manuscrit de Leiden 2720.